dimanche 31 janvier 2010

Guet-Apens à Ozoir-la-Ferrière

Le jeudi 28/01, alors que je rentrais du travail, je remarquais la voiture de « G » , garée derrière le coin de rue, non loin de chez moi. Je suis rentré.
A peine cinq minutes plus tard, cinq ou six individus sont arrivés, dont « G », sonner chez moi afin de « discuter », à six ! (ça c'est des hommes ! )... c'est alors que l'un d'eux est entré en contact avec « ferraille », lequel est sorti de chez lui. Parmi ces individus, il y en avait de type « E » et de type « NA », sans que j'aie de plus amples informations. Ce n'est pas grave, on sait où aller pour en avoir.
Il est sans conteste évident que ces individus attendaient que je rentre du travail afin, si possible, de chercher à provoquer un quelconque conflit. Comme il est incontestable que ce soit « ferraille » qui les ai prévenus de mon arrivée, car de là où je les ai vus, ils ne pouvaient pas me voir.
Il m'a semblé que mon ex-beau frère se tenait non loin de là, en embuscade. Ensuite, alors qu'ils étaient repartis euh...pardon qu'ils s'étaient enfuis, l'un d'entre eux, le visage et les cheveux cachés par une écharpe, est repassé, accompagné sans doute de mon ex-beau frère. Ce dernier est repassé par la suite plusieurs fois à pied. D'ailleurs plus tard , j'ai vu sa voiture garée devant le « 23 ».
Donc il est maintenant évident que « ferraille », « G » et peut-être mon ex-beau-frère, se soient organisés pour essayer de me tendre une pseudo-embuscade ; ce sont là des méthodes bien connues de délinquants aguerris, mais peu intelligents; et non de personnes respectables.
Le vendredi 29/01/2010, ces mêmes individus sont passés plusieurs fois devant mon domicile, semble-t-il armés de battes de base-ball.
La semaine dernière, il a été trouvé un mot dans la boite à lettres sur lequel il était indiqué que l'on allait « m'attendre » lorsque je soritrai de mon lieu de travail.
On pourrait donc en conclure que ce sont des délinquants.

Parallèlement à ces faits, j'ai vu une voiture de l'avenue Arago garée non loin du « 23 », individu qui a l'habitude de venir à l'entrée des bois, ainsi qu'au début de l'avenue Marcel Pagnol.
Ensuite est arrivée une mégane, grise celle là, que j'ai citée dans un autre article, qui s'est arrêtée non loin en laissant le moteur tourner, un individu de type « A » en est descendu, s'est rendu au « 23 », la lumière s'est allumée sur le côté de la maison, ainsi qu'au rez-de chaussée, là où ont lieu les réunions. L'individu est resté assez peu de temps et est ensuite reparti; ce sont les mêmes individus qui font des transactions à l'entrée des bois. On pourrait supposer que, là aussi, c'était une transaction.

Néanmoins, certains mériteraient plus une paire de gifles plutôt qu'un coup de poing dans la figure, car s'ils prennent un coup de poing, ils pourront dire alors qu'ils sont des hommes car ils se sont fait frapper, tandis qu'une gifle, cela correspond plus à leur niveau.
Pour les autres, on déplore, une fois de plus, que ces personnes ont le droit de tout faire, puisqu'il leur est laissé le champ libre pour mener ce type d'action, je peux donc considérer avoir donc le champ libre pour publier leurs exploits et envisager tout autre type d'action à ma convenance quand au choix du lieu et de l'heure, puisque pendant ce temps là, il n'y avait aucun policier à l'horizon pour constater, entre autres aussi, les transactions qui se déroulent à l'entrée des bois, ou au « 23 ».
Tout comme, par exemple il n'y a aucun policier municipal pour constater les choses chaque fois que « ferraille » fait tourner des moteurs de voiture tout le dimanche, alors qu'il est clairement stipulé , par arrêté municipal, qu'il ne doit pas y avoir de bruit excessif le dimanche; ou qu'il démarre « en trombe », en faisant ostensiblement usage de son avertisseur sonore, pour que l'on regarde par la fenêtre, ou pour emmerder le voisinage qui pourrait en témoigner. Il est clair aussi que cette personne doit sûrement payer le carburant (et les pneus) au rabais , ou l'avoir gratuitement.

Il apparaît clair que ces différents individus sont mécontents de s'être faits repérer, et, pour certains, d'avoir appris l'expression: « se faire habiller pour l'hiver ». Force est de constater qu'ils ont de la chance, on connaît, cette année, plusieurs périodes froides.